L'apprentie restait proche de Saut Agile, observant chaque geste et chaque arbuste qui se tenait là. La peur. Cela faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas éprouvé. Une peur froide et profonde de la mort, de l'inconnu, une peur aussi téméraire que destructrice. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait là, ce qu'elle devait chercher, juste le silence tambourinait dans son crâne, quelques fois entrecoupé des paroles des uns et des autres.

L'odeur de peur que dégageait Nuage Diurne exaspérait la jeune apprentie qui n'était pourtant pas plus rassuré, mais au moins elle avait l'intelligence de le cacher un peu.

-Qu'on devrait rentrer.

Répondit alors l'apprenti gris et noir à la question du lieutenant. Nan mais... Il avait pratiquement l'âge d'être guerrier et il avait plus peur qu'une proie qu'on chassait. Elle releva un regard perdu vers Saut Agile mais ne dit rien, elle ne savait pas trop si elle avait réellement le droit de donner son avis.

Ces derniers jours ne sont vraiment pas communs, des patrouilles, des patrouilles et encore des patrouilles. La mer avait été atteint quelques journées auparavant, la prophétie du Clan des Etoiles était désormais accomplie, ou presque du moins. Il ne restait plus qu'à se répartir se nouveau territoire. Voilà pourquoi je patrouille aujourd'hui, pour repérer le territoire et en désigner les futurs propriétaires. Le petit groupe de félin, était aujourd'hui composé du lieutenant de la Nuit et d'autres chats de l'Aube, seule Couronne des Blés demeurait une tête connue pour moi. La marche fut bien plus longue, ce jour là, notre groupe étant pratiquement retourné au bout des montagnes par lesquelles nous sommes arrivés. Mais mes pattes me portaient de mieux en mieux. L'endurance que j'ai acquis à l'aide de la migration s'était encore améliorait grâce aux entrainements draconien de Brume de Soleil, la lieutenante ne laissait rien passait, et cela me convenait. Notre groupe arriva alors devant une grande crête où le vent hurlait de toute son âme. Le lieutenant de la Nuit se tourna pour demander alors l'avis des aubistes, les crépusculiens doivent surement être négligeables je suppose ! La réponse effrayée de l'apprentie aubiste n'arrangea pas mon dégout. Ce dernier est pourtant plus âgé que moi, mais ce comporte encore comme un chaton. Passant devant lui d'un bond contrôlé pour m'approcher du bord. La vue y était en effet bien dégagée, mais le lieu est dangereux. Si quelqu'un venait à tomber en y chassant une proie, sa chute lui serait fatal. Considérer un tel terrain comme une zone de chasse serait suicidaire. Je me plante alors devant Esprit des Glaces, pour lui faire un non de la tête, il ne voulait peut-être pas l'avis d'un apprenti muet, mais il l'aurait quand même. Si les nuiteux et aubistes veulent cette parcelle dangereuse, grand bien leur fasse, mais je refuse de voir un crépusculien y mourir bêtement. Il me faut maintenant prier pour que Couronne des Blés pense comme moi.

(je suppose qu'on peut conclure là ?...)

(agree)

Le corps lourd pendant dans sa gueule, la meneuse avançait avec une certaine facilité. La chatonne n'était pas bien lourde, le manque de muscle de la féline était flagrant, faisant d'Excellence une chatonne bien moins imposante que son âge l'aurait voulu.
Au milieu de la forêt, Etoile Sauvage fit une pause, déposant la féline grise et brune sur le sol. Elle entendait encore les miaulement de protestation de Petite Puissance qui voulait, lui aussi, découvrir le territoire des clans, mais la mère s'y étai fortement opposé. Elle ne ferait pas prendre de risque à une chaton qui avait toute ses chances de réussir.

-Pourquoi tu m'emmènes ?

Demanda pour la énième fois Petite Excellence, ce qui fit soupirer la guerrière.

-On a un accord avec la Nuit, on fait un échange, ils nous prêtent leurs guérisseuses et en attendant tu vivras chez eux.

-Mais pourquoi moi ? Je voulais rester dans l'Aube !

-Parce que c'est comme ça, tu n'apportes rien au clan, alors autant que ce sois toi.

Avant que la petite féline ne puisse protester, Etoile Sauvage là repris par la peau du coup avant de reprendre la route qui rejoignait la crête. Enfin arriver, elle reposa la féline paralysé et scruta le territoire ennemi.

-Et surtout tu ne dis rien, comporte toi bien.

Ajouta la meneuse en voyant le lieutenant adverse arriver.

Odyssée du Golem cheminait aux côtés de sa compagne, dans un silence pesant. Leur relation avait toujours était faite de hauts et de bas. Cependant, les difficultés n'étaient avant que la cause de leurs responsabilités qui les forçaient à se perdre de vue. Cette fois, le problème ne trouvait pas sa source dans leurs emplois du temps. Cette fois, Golem en avait peur. Cette fois, Nuage d'Obscurité changeait. Plus sanguine, plus cassante, plus renfermé... plus extrême. La laisser partir dans ces conditions déchirait le matou mais y avait-il une autre solution ? Non. Avant d'arriver, le lieutenant passa une dernière fois son museau dans le cou de sa compagne, priant pour que tout revienne à la normal à son retour. Etre au contact de nouvelle personne lui fera peut-être du bien.
Gravissant la crête séparant les deux territoires, Odyssée du Golem aperçut Etoile Sauvage et une petite chatte... allongée ?

-Bonjour. miaula-t-il sans feindre une joie d'être là. Est-ce ta fille ?

Se redressant à l'approche du lieutenant nuiteux, elle le salua d'un signe de la queue, sans pour autant montrer le moindre enthousiasme.

-Comme promis.

Confirma-t-elle, accompagné d'un signe de tête. La chatonne, curieuse, observa un instant l'apprentie guérisseuse qui s'était approché. Se dressant sur ses pattes avant, la petite boule de poil se traina jusqu'à elle, sans vraiment savoir pourquoi, son arrière train trainant au sol répondant à sa question. Elle l'observa quelques instants avant de lui offrir un léger sourire.

-Moi c'est Petite Excellence !

La féline avait de nouveau désobéi. Ce n'était pas vraiment dans son intention, elle n'aimait pas se faire gronder ou que ses parents s'inquiètent, mais ils étaient constamment occupé par leurs rôles respectifs et Petite Berceuse ne voulait pas toujours demander à un apprenti ou à un guerrier de l'accompagnée dans ses sortis. Alors, une nouvelle fois, elle était sortit sans rien dire à personne.
Marchant sur le territoire qu'elle connaissait désormais très bien, elle se dirigea vers la frontière aubiste. Pourquoi ? Même elle ne savait pas vraiment, elle voulait juste se dégourdir les pattes et s'aventurer là où elle allait rarement. Et malgré sa désobéissance, elle avait très bien compris que les frontières étaient à éviter. Mais aujourd'hui était un jour à part, toujours sans savoir pourquoi, elle voulait voir d'autre chose, sentir d'autres odeurs, et peut-être, qui sait, rencontrer d'autres félins.
Alors elle marchait, dos au vent, elle ne faisait plus vraiment attention à ce qui l'entourait. Peut-être aurait-elle dû écouter cette fois là, peut-être aurait-elle dû écouter depuis le début...


Le matou avait fait un effort, un réel effort qu'il s'obligeait à mener comme si sa vie en dépendait. Rester, partager, c'était deux choses qu'il devait s'obliger à faire avec la naissance de ses enfants. C'était si étrange pour lui qui bouillonnait de colère. Il y avait tellement de chose à savoir, vivre dans le calme d'un tanière avec des petits drôles et curieux qui le faisait tourner en bourrique, mais lui, il n'était pas à l'aise, et plus les jours passaient, et moins il était présent. Il passait en coup de vent, se trouvant excuse après excuse. Etoile Tourmentée avait surement dû comprendre, et elle lui en voulait surement, mais il ne lui avait pas laissé l'opportunité de lui dire. Il se cachait derrière ses tâches de lieutenant afin de ne pas culpabiliser. Comme si ça suffisait...
Soupirant, il était en solitaire sur le territoire aubiste, rejoignant la frontière nuiteuse. Il surveillait la Crête avec un grand sérieux, se méfiant fortement d'Etoile du Golem qui était un meneur dont les méthodes échappait fortement à l'ancien hordien. A laisser autant de liberté à ses camardes, n'allaient-ils pas finir par ne plus avoir de lui ?
Fléau Nocturne secoua la tête, se concentrant sur ce qui l'entourait. Le vent allait dans sa direction et de là où il était, il pouvait sentir l'odeur du marquage. Mais c'est une autre odeur qui lui fit hérisser les poils. Un renard. Et d'après ce qu'il pouvait sentir, il venait dans sa direction. Les sens en alerte, le matou se redressa, prêt à faire demi-tour pour alerter le camp afin qu'une patrouille soit envoyer, mais il n'eu pas le temps de faire un seul mouvement qu'un cris strident lui parvient.
Ni une ni deux, le guerrier s'élança jusqu'au marquage, là, devant lui, l'animal roux se tenait au dessus d'une chatonne brune qui se débattait tant bien que mal. Non mais que fait une chatonne ici ?! Il écarquilla grand les yeux et sans attendre, il s'élança, traversant la frontière sans même réfléchir. Instinct paternel ou rage sourde ? Peu importait, il savait qu'il n'avait aucune chance, mais la chatonne était en danger. Alors, le lieutenant se jeta sur le prédateur, lui sautant sur le dos, il s'agrippa de toute ses forces, plantant ses griffes dans son dos hérissé, essayant de ses crocs d'attraper les épaules du quadripède. Le renard, tête basse, les crocs planter dans les flancs de la féline crème et brune, se cabra, envoyant au passage Petite Berceuse plus loin. Fléau Nocturne ne parvint pas à s’agripper, il chuta, sa tête frappant le sol dans un bruit sourd. Il n'entendait plus rien, la tête tournant, il n'y avait plus qu'un bruit sourd qui accompagnait ses mouvements. Il ne pensait même plus à la chatonne nuiteuse, juste à sa survie. Esquivant un coup de patte, il plongea sous le ventre du renard afin de le lui lacéré. Le renard poussa un cri que le lieutenant n'entendit pas, mais bientôt c'est sa propre voix qui résonna. Le renard avait réussi à attraper la queue du matou, le tirant et l’éjectant plus loin. Usiku resta alors là, allongé, sonné et douloureux, il ne parvenait plus à se redresser. Et, lorsque le prédateur s'approcha pour planter ses crocs dans les flancs découverts du guerrier, il ne put faire le moindre mouvement, sentant seulement la douleur s'envoler petit à petit. A quelques longueurs de queue, la féline crème et brune se tenait allongé, immobile. Ils étaient mort. Et lui avait échoué.

La douleur avait finit par se taire, disparaître, comme si elle n'avait jamais existé. La chatonne avait l'impression que les crocs de la bête était toujours planté dans son corps, et pourtant, elle ne saignait pas, ne saignait plus. Là, sous ses pattes, de l'herbe à perte de vue, étincelante, comme si le ciel étoilé se reflétait sur le sol. Elle ne comprenait pas vraiment ce qu'elle faisait là, tout autour d'elle, des formes étincelantes dansaient, jusqu'à ce que l'une d'elle grossisse et se transforme en une féline que Petite Berceuse avait du mal à distinguer. Elle n'était pas bien plus grande, pas bien plus imposante, et pourtant la nuiteuse trouva qu'elle dégageait quelque chose de nouveau, de puissant.

-Qui es-tu ?

Demanda-t-elle alors méfiante, oubliant presque le renard qui l'avait attaqué par surprise et ce guerrier qui était intervenu.

Ivresse des Étoiles/Vie

Le chat noir aimait la demi-liberté qui s’offrait à lui, il pouvait enfin connaître tous le territoire du Clan de la Nuit ! Toutes les frontières !
Même si cela l’enchantait beaucoup, il avait encore beaucoup de mal à réguler ses pulsions, quand il sentait qu’il était près à exploser de frustration. Il partait chassé et dans ses moments là…rare était les proies qu’ils lui échappaient.
Mais ce matin, il allait bien !
Marchant tranquillement, il ne fit même pas attention au matou qu’il le regardait.

Ivresse des Étoiles a écrit:

~Mort de Fléau Nocturne~


« Vouloir être quelqu’un d’autre c’est gâcher la personne que vous êtes.»

La féline avait de nouveau désobéi. Ce n'était pas vraiment dans son intention, elle n'aimait pas se faire gronder ou que ses parents s'inquiètent, mais ils étaient constamment occupé par leurs rôles respectifs et Petite Berceuse ne voulait pas toujours demander à un apprenti ou à un guerrier de l'accompagnée dans ses sortis. Alors, une nouvelle fois, elle était sortit sans rien dire à personne.
Marchant sur le territoire qu'elle connaissait désormais très bien, elle se dirigea vers la frontière aubiste. Pourquoi ? Même elle ne savait pas vraiment, elle voulait juste se dégourdir les pattes et s'aventurer là où elle allait rarement. Et malgré sa désobéissance, elle avait très bien compris que les frontières étaient à éviter. Mais aujourd'hui était un jour à part, toujours sans savoir pourquoi, elle voulait voir d'autre chose, sentir d'autres odeurs, et peut-être, qui sait, rencontrer d'autres félins.
Alors elle marchait, dos au vent, elle ne faisait plus vraiment attention à ce qui l'entourait. Peut-être aurait-elle dû écouter cette fois là, peut-être aurait-elle dû écouter depuis le début...

« Mais j’ai toujours été le moins que rien, le plus instable de nous trois ; pourquoi tu t’évertue à croire que ça changera un jour ? »

Le matou avait fait un effort, un réel effort qu'il s'obligeait à mener comme si sa vie en dépendait. Rester, partager, c'était deux choses qu'il devait s'obliger à faire avec la naissance de ses enfants. C'était si étrange pour lui qui bouillonnait de colère. Il y avait tellement de chose à savoir, vivre dans le calme d'un tanière avec des petits drôles et curieux qui le faisait tourner en bourrique, mais lui, il n'était pas à l'aise, et plus les jours passaient, et moins il était présent. Il passait en coup de vent, se trouvant excuse après excuse. Etoile Tourmentée avait surement dû comprendre, et elle lui en voulait surement, mais il ne lui avait pas laissé l'opportunité de lui dire. Il se cachait derrière ses tâches de lieutenant afin de ne pas culpabiliser. Comme si ça suffisait...
Soupirant, il était en solitaire sur le territoire aubiste, rejoignant la frontière nuiteuse. Il surveillait la Crête avec un grand sérieux, se méfiant fortement d'Etoile du Golem qui était un meneur dont les méthodes échappait fortement à l'ancien hordien. A laisser autant de liberté à ses camardes, n'allaient-ils pas finir par ne plus avoir de lui ?
Fléau Nocturne secoua la tête, se concentrant sur ce qui l'entourait. Le vent allait dans sa direction et de là où il était, il pouvait sentir l'odeur du marquage. Mais c'est une autre odeur qui lui fit hérisser les poils. Un renard. Et d'après ce qu'il pouvait sentir, il venait dans sa direction. Les sens en alerte, le matou se redressa, prêt à faire demi-tour pour alerter le camp afin qu'une patrouille soit envoyer, mais il n'eu pas le temps de faire un seul mouvement qu'un cris strident lui parvient.
Ni une ni deux, le guerrier s'élança jusqu'au marquage, là, devant lui, l'animal roux se tenait au dessus d'une chatonne brune qui se débattait tant bien que mal. Non mais que fait une chatonne ici ?! Il écarquilla grand les yeux et sans attendre, il s'élança, traversant la frontière sans même réfléchir. Instinct paternel ou rage sourde ? Peu importait, il savait qu'il n'avait aucune chance, mais la chatonne était en danger. Alors, le lieutenant se jeta sur le prédateur, lui sautant sur le dos, il s'agrippa de toute ses forces, plantant ses griffes dans son dos hérissé, essayant de ses crocs d'attraper les épaules du quadripède. Le renard, tête basse, les crocs planter dans les flancs de la féline crème et brune, se cabra, envoyant au passage Petite Berceuse plus loin. Fléau Nocturne ne parvint pas à s’agripper, il chuta, sa tête frappant le sol dans un bruit sourd. Il n'entendait plus rien, la tête tournant, il n'y avait plus qu'un bruit sourd qui accompagnait ses mouvements. Il ne pensait même plus à la chatonne nuiteuse, juste à sa survie. Esquivant un coup de patte, il plongea sous le ventre du renard afin de le lui lacéré. Le renard poussa un cri que le lieutenant n'entendit pas, mais bientôt c'est sa propre voix qui résonna. Le renard avait réussi à attraper la queue du matou, le tirant et l’éjectant plus loin. Usiku resta alors là, allongé, sonné et douloureux, il ne parvenait plus à se redresser. Et, lorsque le prédateur s'approcha pour planter ses crocs dans les flancs découverts du guerrier, il ne put faire le moindre mouvement, sentant seulement la douleur s'envoler petit à petit. A quelques longueurs de queue, la féline crème et brune se tenait allongé, immobile. Ils étaient mort. Et lui avait échoué.

Ashes falling from the Sky. Je tombe seul, sans toi. »

La douleur avait finit par se taire, disparaître, comme si elle n'avait jamais existé. La chatonne avait l'impression que les crocs de la bête était toujours planté dans son corps, et pourtant, elle ne saignait pas, ne saignait plus. Là, sous ses pattes, de l'herbe à perte de vue, étincelante, comme si le ciel étoilé se reflétait sur le sol. Elle ne comprenait pas vraiment ce qu'elle faisait là, tout autour d'elle, des formes étincelantes dansaient, jusqu'à ce que l'une d'elle grossisse et se transforme en une féline que Petite Berceuse avait du mal à distinguer. Elle n'était pas bien plus grande, pas bien plus imposante, et pourtant la nuiteuse trouva qu'elle dégageait quelque chose de nouveau, de puissant.

-Qui es-tu ?

Demanda-t-elle alors méfiante, oubliant presque le renard qui l'avait attaqué par surprise et ce guerrier qui était intervenu.

Méduse / Berceuse :

Maudire des chatons pour se venger ! Je vais l'étriper celui-là ! pesta intérieurement la chatonne des étoiles. Depuis le départ du territoire astral de Tournesol, Méduse s'ennuyait comme un rat mort et n'avait plus qu'en tête la malédiction lancée par Museau Balafré. Aussi terrible était ce que Golem est fait, rien ne justifier de s'attaquer à des chatons innocents de toutes responsabilités, pas même conscient des enjeux et aboutissements. Alors quand un groupe d'ancêtres s'était rejoint pour essayer de trouver une solution de secours, Petite Méduse fut l'une des plus proactives. Peut-être lié à sa mort, celle-ci aurait bien aimé que le Clan des Etoiles fasse preuve de plus de clémence concernant le destin de sa fratrie ainsi que le sien. Mais peut-être que ce même clan ne voit pas le problème dans la mort de jeune chaton après tout...
Aujourd'hui fut son tour, malheureusement. La mort refrappa la pauvre Berceuse, Méduse fonça alors à la rencontre de son âme, prête à les rejoindre définitivement. A sa rencontre, la frimousse de la jeune femelle fit fondre le coeur de la chatte brune qui bien que coincée dans ce corps d'enfant, n'en avait pas moins bien évolué pour acquérir la maturité d'une guerrière rêvant d'un compagnon et de petits marmots à ses côtés. Une vie qui ne serait jamais la sienne.

-Tes parents ne t'ont jamais dis de ne pas sortir du camp ? miaula-t-elle bien décidé à marqué une remontrance avant toute chose.

@Nuage de l'Âme

Ivresse des Etoiles
"J'ai aimé trop profondément les étoiles pour avoir peur de la nuit."